Dans le cadre des Dimanches de Sotha,
spectacle suivi d'un petit buffet avec les artistes...
les DIMANCHES à 20H
les 22 octobre et 3 décembre- durée 1h20
les 22 octobre et 3 décembre- durée 1h20
Djahîz Gil
dans une comédie écrite et mise en scène par Julie Allainmat
Musique Nicolas Daussy -
avec :
dans une comédie écrite et mise en scène par Julie Allainmat
Musique Nicolas Daussy -
avec :
"Si vous voulez gagner, il faut risquer de perdre" (Sacha Guitry)
Quarante ans après le suicide, à 35 ans, d’un acteur connu, sa veuve écrit une pièce pour tenter d’éclaircir les raisons de son geste.
L’acteur pressenti pour le rôle s’interroge tellement sur sa légitimité à interpréter un personnage si complexe qu’il finit par s’adresser à un psy qu’il situe quelque part dans la salle.
Il est obligé de lui raconter ce qu’il connaît de la star… et qui il est lui-même.
Ce n’est pas un biopic. C’est une histoire de miroir qui se déroule sous les yeux d’un personnage subjectif : un psy freudien désabusé.
Le titre de cette psycho-comédie de Julie Allainmat justifie amplement sa programmation dans « LES DIMANCHES DE SOTHA » au Café de la Gare, bien sûr. Un endroit où on peut rire même de ce qui n’est pas drôle, et en parler autour d’une soupe ou/et d’un verre avec l’équipe artistique.
CONCLUSION : Les acteurs sont de grandes fleurs fragiles qui poussent au soleil des caméras, et se fanent à la lecture des journaux. (Christian Robin).
Quarante ans après le suicide, à 35 ans, d’un acteur connu, sa veuve écrit une pièce pour tenter d’éclaircir les raisons de son geste.
L’acteur pressenti pour le rôle s’interroge tellement sur sa légitimité à interpréter un personnage si complexe qu’il finit par s’adresser à un psy qu’il situe quelque part dans la salle.
Il est obligé de lui raconter ce qu’il connaît de la star… et qui il est lui-même.
Ce n’est pas un biopic. C’est une histoire de miroir qui se déroule sous les yeux d’un personnage subjectif : un psy freudien désabusé.
Le titre de cette psycho-comédie de Julie Allainmat justifie amplement sa programmation dans « LES DIMANCHES DE SOTHA » au Café de la Gare, bien sûr. Un endroit où on peut rire même de ce qui n’est pas drôle, et en parler autour d’une soupe ou/et d’un verre avec l’équipe artistique.
CONCLUSION : Les acteurs sont de grandes fleurs fragiles qui poussent au soleil des caméras, et se fanent à la lecture des journaux. (Christian Robin).
Agenda
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