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JEAN-JACQUES VANIER dans
A LA RECHERCHE DE LA RECHERCHE
« Ou : Que le grand Proust me croque »

Ma mère ne venait pas m’embrasser dans mon lit quand j’étais petit.
Ma mère ne venait pas m’embrasser dans mon lit quand j’étais petit.
Ma mère ne venait pas… etc., etc.
7 tomes, 4 mille pages, 143 mille lignes de : « Ma mère ne venait pas m’embrasser dans mon lit quand j’étais petit. »
Voilà, selon mes sources, ce qu’aurait été le projet initial de : A la recherche du temps perdu.
Ceux qui ont eu des lignes à copier pendant leur scolarité réalisent que 143 000, ça fait beaucoup de lignes.
Quand j’étais petit, j’avais eu mille fois : « Je ne dois pas souffler le vent pour soulever les jupes des filles dans la cour de récréation. »
Que le Grand Proust me croque, ça aussi c’est beaucoup de lignes et de temps perdu.

Plus drôle, plus dingue, plus intelligent à la fois ? Ne cherchez pas ! (Paris Match.)
Un humour inclassable. (Le Parisien.)
Un rire franc, heureux, complice. (Le Figaro.)
Ce qui est sûr c’est que ce type est un génie.(Guy Carlier)
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